édition 2002

. FRANÇOIS CORNELOUP SOLO
. LOUIS SCLAVIS QUARTET « NAPOLI’S WALLS »

9 février 2002
Théâtre du Lierre
Paris

FRANÇOIS CORNELOUP SOLO

FRANÇOIS CORNELOUP / saxophone baryton et soprano

François Corneloup propose une itinérance se déroulant au cœur de paysages sonores chaleureux, riches de maturité et d’aventures musicales. Registres et sensations inattendus voisinent auprès de thèmes musicaux connus à la sensibilité renouvelée. Avec bonheur, l’on découvre l’expression d’une liberté débarrassée de tout interdit ou préjugé qui emprunte les chemins les plus réjouissants.

LOUIS SCLAVIS QUARTET « NAPOLI’S WALLS »

LOUIS SCLAVIS / clarinette, clarinette basse et saxophone soprano
MÉDÉRIC COLLIGNON / cornet et voix
VINCENT COURTOIS / violoncelle
HASSE POULSEN / guitare

Regroupant quatre solistes hors pairs, cette nouvelle formation est en soit tout un programme… Un son moderne et baroque résonne déjà de cette association surprise entre un guitariste impro-jazz, un cornettiste chanteur new-orléano-rocker – jongleur, un élégant violoncelliste mélodieux, rassemblés sous la houlette de Louis Sclavis pour célébrer Naples. Cette ville unique et si attirante rencontrera la musique aux forts contrastes raffinés du clarinettiste. Une preuve évidente que la musique s’inspire de la vie.
« Chercher la musique sur les murs d’une ville en passant. Les murs renferment, cachent, transpirent…
Lire les strates, les accumulations, l’écriture, des rajouts et des rafistolages.
Alors pourquoi pas Naples.
Et le travail d’Ernest Pignon Ernest sur les murs de la ville comme un fil à suivre.
Naples avec son passé qui se vit au présent.
L’improvisation trouve là une organisation
Chaotique parfaite qui lui ressemble et il n’y a pas
De futur dans la langue napolitaine dans
L’improvisation non plus.
Il ne s’agit pas de folklore mais de fiction, le
Vésuve se chargera de garder la tension. Ressortir
De ces murs une forme simple et vivante. »
Louis Sclavis