édition 2011

“SPECIAL EVENING EN 3 PARTIES”
. 1ère Partie MELVIN VAN PEEBLES WID LAXATIVE
. 2ème Partie BURNT SUGAR THE ARKESTRA CHAMBER
. 3ème Partie BURNT SUGAR THE ARKESTRA CHAMBER

5 février 2011
Théâtre Romain Rolland
Villejuif

1ère Partie MELVIN VAN PEEBLES WID LAXATIVE

MELVIN VAN PEEBLES / voix,
LAXATIVE
MIKEL BANKS
/ voix, flûte, harmonica et freak-a-phone
PAULA HENDERSON / saxophone baryton
WILL MARTINA / violoncelle
ANDRÉ LASSALLE / guitare
BRUCE MACK / voix et claviers
JARED MICHAEL NICKERSON / basse électrique et voix
CHRIS EDDLETON / batterie

*YEAH UNHUNH SURE … THE RUBBER, IE. YOUR BEHIND, MEETING THE ROAD, DO JESUS, HAND TO HEAVEN, STREET SONGS.

2ème Partie BURNT SUGAR THE ARKESTRA CHAMBER

* « BITCHES BREW » HOMMAGE A MILES DAVIS

3ème Partie BURNT SUGAR THE ARKESTRA CHAMBER

GREG TATE / Direction
LUQMAN BROWN / voix et ringmaster
LATASHA NEVADA N. DIGGS / voix
LISALA / voix
NICOLE SHELLEY / voix et percussions
KARMA MAYET JOHNSON / voix
LEWIS BARNES JR. / trompette
MICAH GAUGH, AVRAM FEFER / saxophones
PAULA HENDERSON / saxophone baryton
MIKEL BANKS / voix et harmonica
MAZZ SWIFT / violon
WILL MARTINA / violoncelle
BRUCE MACK / claviers
W. MYLES REILLY / claviers
ANDRÉ LASSALLE / guitare
ASIM BARNES / guitare
JASON DI MATTEO / contrebasse
JARED MICHAEL NICKERSON / basse électrique
CHRIS EDDLETON / batterie

* BURNT SUGAR FREAKS THE JAMES BROWN SONGBOOK
Critique décalé, co-fondateur de la Black Rock Coalition, responsable du vaste trafic musical connu sous le nom de Burnt Sugar – The Arkestra Chamber, Greg Tate définit « Son » orchestre comme une commune libre composée de musiciens mercenaires. Une tribu qui fait sa transhumance à chaque Sons d’hiver, depuis quelques années. Raison de plus pour ne pas en rester là.
Cette fois-ci, après la reprise sur scène de « Brer Soul », le premier disque de « street jazz » et « social poetry » de l’homme de théâtre, de cinéma et de musique Melvin Van Peebles, il s’agira de butiner le précieux nectar. La démarche de Burnt Sugar découle de deux principales sources d’inspiration : la « conduction », une méthode d’improvisation collective dirigée et les procédures de jeu développées par Miles Davis, sous l’influence de James Brown notamment, pour orchestrer sa musique à partir de « Bitches Brew ».
Au programme, pour « communiquer le funk » : après le mystérieux hors-d’oeuvre, on dégustera le nectar élaboré dans le « Bitches Brew » de l’un puis le nectar relevé mis au point par l’auteur de « Mother Popcorn » de l’autre… À bon entendeur…